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Espèces exotiques envahissantes

La présence d’espèces exotiques envahissantes est définitivement un problème sans frontière que l’on retrouve également sur le territoire de Val-des-Monts.Une plante aquatique exotique envahissante se distingue par sa présente dans un plan d’eau situé à l’extérieur de son aire de répartition naturelle.

5 étapes pour protéger son lac

Réalisé par le MDDELCC

Mesures à prendre pour éviter la propagation d’espèces envahissantes

Il est important de minimiser les effets causés par les espèces en limitant la propagation de celles-ci. Les efforts collectifs sont importants. Voici donc quelques conseils pour éviter et limiter l’envahissement d’espèces non désirées sur ou à proximité d’un plan d’eau :

 
  • Renseignez-vous sur l’origine des espèces que vous transplantez sur vos bandes riveraines et dans vos jardins et optez pour des espèces indigènes.
  • Apprenez à identifier les espèces envahissantes afin de limiter la propagation en les éliminant du territoire ou encore en contactant le Ministère du Développement durable, Environnement et Lutte contre les changements climatiques.
  • Enlevez les plantes et animaux s’étant fixés au bateau ou aux équipements nautiques à la sortie du plan d’eau.
  • Assurez-vous qu’en quittant le plan d’eau, l’eau du moteur ait été drainée. 
  • Ne transportez jamais des animaux ou des plantes aquatiques d’un plan d’eau à un autre. 
  • Utilisez une station de lavage avant d’entrer votre embarcation dans le plan d’eau lorsqu’il y en a présence.
  • Lavez le bateau et l’équipement avec de l’eau chaude ou à l’aide d’un jet d’eau à haute pression et ensuite laissez-le sécher pour un minimum de 5 jours.
  • Évitez de composter les plantes envahissantes.

 

Faune - Espèce ayant un risque potentiel d'envahir les lacs et les milieux humides de Val-des-Monts

Moule zébrée

Ce mollusque aurait d’abord été introduit dans les Grands Lacs et se serait répandu dans la majorité des voies navigables de l’est des États-Unis. Du côté du Québec, il est présent dans le fleuve Saint-Laurent ainsi que dans la rivière des Outaouais.

Comment la reconnaitre?

Les caractéristiques suivantes permettent de distinguer cette espèce de moule d’eau douce des autres :

  • Sa coquille est brune, rayée de blanc ou de beige et présente une grande variation de coloration
  • Sa taille varie entre 0,5 et 5 cm.

Écologie et impacts sur le milieu envahi

Sa capacité d’envahir les plans d’eaux est due à la façon dont la femelle peut se reproduire en pondant un million d’œufs par année, si les conditions sont favorables. Il suffit que la température de l’eau soit supérieure à 12 °C.

L’activité d’un grand nombre de ces individus dans nos lacs pourrait avoir des répercussions néfastes sur les plans d’eaux. Chaque moule a la capacité de filtrer jusqu’à 1 litre d’eau par jour. Se faisant, elles puisent les quantités de phytoplancton et de zooplancton, de petits organismes qui forment la principale source de nourriture pour certains types de jeunes poissons. De plus, leur grande population nécessite davantage d’espace pour survivre et se reproduire au risque de transformer les habitats des zones de fraies. À long terme, cette colonisation pourrait causer une baisse de biodiversité puisque les populations ne pourraient se succéder et les prédateurs de ces petits poissons en souffriraient aussi. Plusieurs populations de la moule d’eau douce ont disparu suivant l’arrivée de la moule zébrée dans leur habitat. En plus de s’approprier les ressources des espèces indigènes, la colonisation de la moule zébrée peut endommager les embarcations nautiques ou encore les systèmes hydrauliques en raison de sa capacité à se fixer sur plusieurs types de surfaces. (MFFP, 2016)

Bien que la moule zébrée n’ait pas encore été repérée dans les eaux de Val-des-Monts, le danger d’envahissement est possible et prévisible, en raison de sa proximité au Lac Lemay, un endroit déjà envahi.

Flore - Espèce envahissante présente dans les lacs et les milieux humides de Val-des-Monts

MYRIOPHYLLE EN ÉPI

Le myriophylle en épi est maintenant présent dans plusieurs lacs du territoire de Val-des-Monts. En effet,  la Fédération réalise actuellement un suivi rigoureux ayant pour but de détecter et cartographier les herbiers de myriophylle en épi présents dans les lacs de Val-des-Monts.

 

 

 

 

 

 

QU'EST-CE QUE C'EST?

Le myriophylle en épi est une espèce exotique envahissante présente dans plusieurs lacs du Québec depuis déjà plusieurs années. Originaire de l'Eurasie, cette plante aquatique s'est probablement retrouvée dans nos lacs par l'intermédiaire de bateaux et autres embarcations nautiques transportant des fragments de myriophylle. La grande adaptabilité et la croissance rapide de cette plante lui a permis de d'installer dans une multitude de milieux. Des petits marais, en passant par les étangs jusqu'aux grands lacs, le myriophylle a vite envahit plus d'une centaine de nos cours d'eau et est aujourd'hui à l'origine de plusieurs complications environnementales. 

COMMENT LE RECONNAITRE?

Veuillez consulter la fiche Myriophylle en épi réalisé par le MDDELCC. Celle-ci décrit les principales caractéristiques du myriophylle en épi ainsi que celles des espèces similaires. 

 

SON HABITAT

Le myriophylle en épi est une plante aquatique dotée d'une grande capacité d'adaptation. Il n'est pas rare de le retrouver dans différents habitats très diversifiés, comme des marais, des étangs, des milieux humides, des rivières et des lacs. Même s'il préfère les températures au-dessus de 15°C, il a la capacité de survivre à des températures glaciales. Généralement, les herbiers de myriophylle en épi sont retrouvés en bordure des rives, à des profondeurs allant de 1 à 4 mètres.  Cette plante aquatique préfère de loin les eaux alcalines avec un pH oscillant entre 8 et 9 et comme la majorité des plantes, elles croissent davantage dans les eaux riches en nutriments, notamment en azote. 

SON MODE DE DISPERSION

Le mode de reproduction du myriophylle en épi est à l'origine du grand fléau rencontré de nos jours. En effet, celui-ci possède une capacité de dispersion phénoménale capable d'augmenter la population de manière exponentielle. Ce dernier se reproduit par bouturage, un mode de reproduction qui consiste à donner naissance à un nouvel individu identique à la plante mère à l'aide d'un seul fragment de cette dernière. Même si le myriophylle fait du bouturage par lui-même, les activités humaines favorisent grandement ce mode de reproduction. Un coup de moteur, de pagaie ou même un coup de pied est susceptible de fragmenter les plants de myriophylle et ainsi d'augmenter sa densité et son aire de répartition. C'est pourquoi nous déconseillons tout type d'activité dans les zones où le myriophylle est présent pour limiter sa dispersion. 

SES IMPACTS

L'envahissement d'un cours d'eau par le myriophylle en épi entraîne plusieurs problématiques environnementales et socio-économique. 

Impacts environnementaux

  1. Perturbation de l'écosystème 
  2. Perturbation de la biodiversité locale en compétionnant avec les plantes indigènes
  3. Engendre des changements physico-chimiques du cours d'eau 
  4. Favorise l'eutrophisation en augmentant la quantité de matière organique dans les cours d'eau. 
  5. Créer des habitats favorables aux moustiques 

Impacts socio-économique

  1. Affecte le tourisme, la villégiature et les activités récréatives 
  2. Affecte la valeur des propriétés riveraines 
  3. Altère le paysage
  4. Perte d'usages du cours d'eau par les utilisateurs  

OUTILS DE GESTION ET DE CONTRÔLE

1. Identification  

Avant d'entreprendre des mesures de gestion et de contrôle, il faut s'assurer qu'il y a bel et bien des herbiers de myriophylles dans le cours d'eau. C'est pourquoi il est important d'apprendre à bien identifier les espèces exotiques envahissantes à l'aide d'une clé d'identification et de demander l'avis d'un professionnel. 

2. Déterminer la répartition des herbiers 

La cartographie des herbiers de myriophylle est très importante dans le but de déterminer où se trouve les colonies dans le cours d'eau ainsi que leur densité. Cette étape permet d'en apprendre davantage sur l'ampleur du problème et de mettre en place un plan de gestion adéquat. Suite à l'identification et à la localisation des herbiers de myriophylle, il sera possible d'installer des bouées pour limiter toute activités dans les zones infestées. Il est important de mentionner qu'une détection précoce augmente les chances de résolution du problème. 

Protocole de détection et de suivi des plantes aquatiques exotiques envahissantes

 3. Mise en place d'un plan d'intervention 

Plusieurs outils sont maintenant disponibles pour limiter la propagation du myriophylle en épi. Il est important de mentionner que les méthodes de lutte ont pour objectif le maintien  des colonies à un niveau acceptable et non l'éradication complète de la plante. 

  • Se donner des objectifs précis et réalistes et prendre en compte notre capacité à payer.
  • Il faut se méfier des «solutions miracles» --- Ça n’existe pas!
  • Adopter la méthode d’intervention adaptée à votre plan d'eau et l'ampleur de l'envahissement des herbiers de myriophylle en épi afin d’atteindre ses objectifs et respecter son budget établi.
  • Confier le travail à des professionnels et mobiliser les bénévoles.
  • Faire des suivis et ne pas baisser la garde --- C’est une lutte qui doit être entreprise sur le long terme et à perpétuité

Il est souhaitable d'adapter votre plan d'intervention aux différentes colonies de myriophylle en épi, ce qui permet d'appliquer plus d'une méthode de contrôle dans un même lac. Pour plus d'information concernant les différentes méthodes de contrôle, veuillez consulter le document Lutte au myriophylle en épi : Mise à jour des connaissances.

*** La Fédération des lacs de Val-des-Monts vous invite à communiquer avec le Bureau régional de l'Outaouais du MDDELCC pour entreprendre votre projet de contrôle. Un analyste pourra vous conseiller et déterminer les autorisations dont vous aurez besoin pour réaliser vos interventions dans votre lac. 

 

Bureau régional de l'Outaouais, Gatineau

170, rue de l'Hôtel-de-Ville, bureau 7.340

Gatineau, Qc, J8X 4C2

Téléphone : (819) 722-3434

Courriel : outaouais@mddelcc.gouv.qc.ca

Bonnes pratiques nautiques à adopter pour limiter sa propagation

Voici une brève énumération de quelques pratiques simples à adopter. 

  1. Apprenez à reconnaître le myriophylle en épi envahissant afin de récolter les fragments qui flottent à la surface de l'eau. 
  2. Lorsque vous naviguez dans un plan d'eau et que vous remarquez qu'il y a présence de myriophylle en épi, éteignez le moteur de l'embarcation s'il y a lieu et essayer de naviguer aux endroits exempts de myriophylle. 
  3. Lorsque vous voyez des bouées indiquant la présence de myriophylle en épi, contournez les le plus possible pour éviter de naviguer dans les herbiers de myriophylle. 
  4. À chaque fois que vous sortez d'un plan d'eau, inspectez votre embarcation et le moteur s'il y a lieu et nettoyez les à l'aide d'un jet d'eau à haute pression. S'il n'y a pas de station de nettoyage à la sortie du plan d'eau, prenez un chiffon humide pour retirer les débris qui se trouvent sur l'embarcation. 
  5. Ne jamais transporter d'espèces végétales d'un cours d'eau à un autre. 
  6. Ne jamais mettre de myriophylle en épi dans le bac de compost. Si vous souhaitez vous débarrasser des fragments récoltés, les faire sécher et les brûler par la suite. 
  7. Ne jamais tenter d'arracher les herbiers de myriophylle en épi manuellement ou à l'aide d'un râteau. 
  8. Ne jamais transplanter d'espèces végétales envahissantes sur les bandes riveraines. 
  9. Éviter de pratiquer des activités récréatives, telles la pêche, la baignade, le kayak et autres activités dans les zones où il y a une forte présence de myriophylle en épi. 
Soyez prudent! Ne jamais introduire ces plantes exotiques envahissantes dans votre bande riveraine 

 

  1. Salicaire pourpre
  2. Renouée japonaise
  3. Berce du Caucase
  4. Roseau commun
  5. Alpiste roseau

 

 

 

 

 

Flore - Espèces envahissantes présentes sur le territoire de Val-des-Monts

SALICAIRE POURPRE

Au début de 19e siècle, en provenance de l’Europe et de l’Asie, la salicaire pourpre, une plante vivant dans les milieux humides, a fait son apparition sur ce continent. 

Cette plante distincte est facile à reconnaitre grâce aux caractéristiques suivantes :

  • De juin à septembre, on la remarque dans les milieux humides surtout en raison de ses fleurs pourpres ou roses jaillissant au bout des tiges ;
  • Chaque plante possède plusieurs tiges ;
  • Pouvant atteindre jusqu’à un mètre de hauteur, on peut l’apercevoir près des lacs, des cours d’eau et des plages de Val-des-Monts.

Lorsque la salicaire pourpre colonise les milieux humides, elle s’approprie les nutriments et l’espace nécessaire aux plantes indigènes. Cela a pour conséquence de diminuer les individus des populations indigènes et même parfois la biodiversité, en plus de diminuer les habitats des espèces fauniques, tels ceux des oiseaux, des insectes et des mammifères.

Berce du caucase

Une plante trouvée surtout dans les milieux humides et perturbés, la berce du Caucase a initialement été introduite en Amérique du Nord pour l’aménagement paysager. Elle colonise principalement les berges de cours d’eau, des fossés, des chemins de fer et les routes. Cette espèce est reconnue pour ses propriétés toxiques à l’homme (les toxines agissent sur les cellules superficielles de la peau, pouvant résulter en brulures douloureuses). Ces toxines sont activées sous l’effet des rayons ultraviolets. Au toucher de la plante, la sensation de douleur ne se fait pas sentir immédiatement, mais peut se faire jusqu’à 48 heures après l’entrée en contact.

Plusieurs caractéristiques permettent de la reconnaître en raison de ses grandes feuilles, de la hauteur qu’elle peut atteindre et de sa morphologie. Toutefois, elle ressemble à la berce laineuse (H. lanatum), une espèce indigène qui n’est pas toxique. (MDDEP, s.d)

Les critères suivants permettent de les différencier :

  • La berce du Caucase peut atteindre une hauteur allant de 2 à 5 m alors que la berce laineuse ne fait que de 1 à 3 m ;
  • Le diamètre de chaque inflorescence (fleur) fait de 20 à 50 cm pour la berce du Caucase alors qu’elle ne fait que 15 à 20 cm pour la berce laineuse ;
  • La tige de la berce du Caucase est tachée de rouge sur une bonne partie de sa surface tandis que celle de la berce laineuse est principalement recouverte de petits poils blancs ;
  • La face intérieure d’une feuille de la berce du Caucase est lisse avec quelques petits poils blancs rudes et celle de la feuille de la berce laineuse est complètement recouverte de poils blancs.
Flore - Espèces ayant un risque potentiel d'envahir  le territoire de Val-des-Monts

Renouée japonaise

Actuellement, cette espèce qui colonise les milieux humides est présente en bordure de la rivière Blanche Ouest. 

Pouvant s’élever jusqu’à 4 m de hauteur, la renouée Japonaise forme de grands massifs feuillus. Elle présente aussi les caractéristiques suivantes :

  • La tige a un diamètre de 2 à 4 cm et est principalement verte, mais on y retrouve du rouge ;
  • Les fleurs sont blanches, vertes ou rouges et sont réunies en longues grappes ;
  • La base de la feuille est droite et l’extrémité de chaque feuille est pointue ;
  • La couleur des fruits est d’un rouge brun et chacun d’entre eux mesure environ 4 mm de long.

Elle affecte directement le développement et ne subit pas de compétition d’autres espèces puisqu’ici, elle n’a pas d’ennemi naturel. Elle a donc le potentiel d’affecter la biodiversité du territoire qu’elle colonise.

Châtaigne d'eau

On  retrouve cette espèce à proximité de Val-des-Monts, soit dans le Parc national de Plaisance. Elle a tendance à pousser dans les milieux aquatiques peu profonds, à faible courant, où les nutriments sont abondants. Les lacs de Val-des-Monts pourraient donc être des lieux susceptibles d’être envahis si l’espèce était introduite. Dans un tel cas, les activités de pêche, de baignade et de navigation seraient potentiellement compromises.

La fiche du Conseil québécois des espèces exotiques envahissantes (CQEEE, 2014) est disponible ici

   

 

Caractéristiques

- Feuilles flottantes en rosette, triangulaires, dentelées et munies de flotteurs à leur base.

- Tige enracinée pouvant mesurer jusqu’à 5m.

- Elle produit de grosses semences, dures et ornées d’épines.

Habitat et répartition

- Ses caractéristiques anatomiques lui confèrent le potentiel d’envahir nos plans d’eau calmes et peu profonds.

Une fois introduite, elle forme des tapis de feuilles flottantes qui peuvent atteindre des kilomètres de longueur. Sa présence présente de nombreux problèmes quant à la survie des espèces aquatiques indigènes. 

Référence : © John M. Randall, The Nature Conservancy, Bugwood.org ; © IFAS Center for Aquatic Plants, University of Florida.

Faux-nymphea pelté

La fiche du Conseil québécois des espèces exotiques envahissantes (CQEEE, 2014) est disponible ici

  

Caractéristiques

- Feuilles flottantes en forme de cœur et fleurs jaunes.

- Se distinguent par ses stolons robustes (tiges aériennes rampantes) permettent un établissement rapide.

- Les fragments de tige et de stolons peuvent produire de nouvelles populations.

Habitat et répartition

- Eaux calmes de moins de 4 m.

- Sa présence au Québec est en expansion.

Référence : © David Cappaert, Michigan State University, Bugwood.org.

Hydrocharide grenouillette

La fiche du Conseil québécois des espèces exotiques envahissantes (CQEEE, 2014) est disponible ici

  

Caractéristiques

- Plante flottante avec des feuilles rondes en cœur.

- L’endos de la feuille est violet et comprends une couche spongieuse.

- Fleurs émergentes blanches avec un centre jaune.

- Se propage en colonie dense.

Habitat et répartition

- Surtout présente au Québec et en Ontario.

- Progresse dans les eaux à faible débit et riches en calcium.

Référence : © David J. Moorhead, University of Georgia, Bugwood.org ; © IFAS Center for Aquatic Plants, University of Florida.

Jacinthe d'eau

La fiche du Conseil québécois des espèces exotiques envahissantes (CQEEE, 2014) est disponible ici

  

Caractéristiques

- L’une des 100 espèces exotiques envahissantes les plus néfastes de la planète.

- Plante flottante pouvant former un tapis dense.

- Fleurs de couleur bleu-violet forment des grappes de 4 à 15 fleurs portées par un épi.

Habitat et répartition

- Au Canada, les colonies ne tolèrent pas nos hivers jusqu’à maintenant.

Référence : © Josh Hillman, FloridaNature.org, Bugwood.org ; © IFAS Center for Aquatic Plants, University of Florida.

potamot crépu

La fiche du Conseil québécois des espèces exotiques envahissantes (CQEEE, 2014) est disponible ici

  

Caractéristiques

- Se distinguent par ses feuilles frisotées et dentelées légèrement teintées rougeâtre.

- Plante submergée.

- Les tiges peuvent atteindre jusqu’à 1m.

- Grande résistance aux climats froids.

- Tapis denses à la surface de l’eau.

Habitat et répartition

- Capacité de coloniser les eaux profondes et peu profondes.

- Prolifère dans les eaux polluées à faible ou fort courant.

Référence : © IFAS Center for Aquatic Plants, University of Florida ; © Chris Evans, Illinois Wildlife Action Plan, Bugwood.org.